Yollotl Gonzalez Torres va présenter la réédition de son ouvrage sur le sacrifice humain chez les Mexicas le 6 septembre prochain au Musée National d'Anthropologie.
Dans un article publié dans la Jornada, l'anthropologue revient sur des publications récentes qui limitent le nombre de victimes de sacrifices humains et nient l'existence d'un cannibalisme qui nuisent à l'image des Mexicas et donc aux Mexicains contemporains.
In cuicapicqui Ninonpehua, nihuelncuica ompa ye huitz Tollanitic, nihuelicuica, otozcuepo, motoma xochitl Huel xiccaqui ye mocuic: cuicaichtequini ¿quen ticcuiz, noyol? Timotolinia yuhquin tlacuilolli huel titlani, huel xontlapalaqui at ahihuetzian timotolinia (León-Portilla, 2012, 148-159) On n'espérait pas entendre cette annonce dans les journaux télévisés mexicains, sur les réseaux sociaux, les pages de centres de recherches. Voilà plusieurs mois que Miguel León-Portilla était hospitalisé pour des soucis bronchopulmonaires et semblait se récupérer lentement, comme l'indiquait son épouse Ascención Hernández en mai dernier au quotidien Milenio . Finalement, le chercheur mexicain probablement le plus récompensé jusqu'à présent n'a pas résisté plus longtemps. Lire son CV sur le site de l'Instituto de Investigaciones Históricas vous permettra de vous faire une idée de son importance pour les sciences mexicaines. Réduir...
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