Un article de la Jornada annonce la tenue du Congrès International des Américanistes en juillet 2009 au DF. C'est la cinquième fois en 130 ans d'existence que le Congrès International des Américanistes posera ses valises en terre aztèque.
La précédente édition avait eu en Espagne, à Séville alors que la première avait eu lieu en France à Nancy. Paris a été la dernière ville française à l'accueillir en 1976, au feu Musée de l'Homme.
Il s'agit d'un immense atelier de conférences, débats et laboratoires de recherches liées à l'anthropologie, l'archéologie, l'histoire, la biologie, la géologie, la linguistique, la philosophie, l'art, l'économie des Amériques du Nord, du Centre et du Sud anciennes, modernes et contemporaines.
Le thème en sera : Los pueblos americanos: cambios y continuidades. La construcción de lo propio en un mundo globalizado.
In cuicapicqui Ninonpehua, nihuelncuica ompa ye huitz Tollanitic, nihuelicuica, otozcuepo, motoma xochitl Huel xiccaqui ye mocuic: cuicaichtequini ¿quen ticcuiz, noyol? Timotolinia yuhquin tlacuilolli huel titlani, huel xontlapalaqui at ahihuetzian timotolinia (León-Portilla, 2012, 148-159) On n'espérait pas entendre cette annonce dans les journaux télévisés mexicains, sur les réseaux sociaux, les pages de centres de recherches. Voilà plusieurs mois que Miguel León-Portilla était hospitalisé pour des soucis bronchopulmonaires et semblait se récupérer lentement, comme l'indiquait son épouse Ascención Hernández en mai dernier au quotidien Milenio . Finalement, le chercheur mexicain probablement le plus récompensé jusqu'à présent n'a pas résisté plus longtemps. Lire son CV sur le site de l'Instituto de Investigaciones Históricas vous permettra de vous faire une idée de son importance pour les sciences mexicaines. Réduir...
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