L'INAH annonce la mise en place d'un projet de digitalisations de structures et de bâtiments à Uxmal, Sayil, Kabah et Xlapac dans le but de mieux comprendre les techniques et les matériaux utilisées par les anciens Mayas pour la construction qui bon an mal an sont parfois millénaires et tiennent parfaitement debout au contraire des constructions modernes et éphémères.
Grâce à ce projet, les restaurateurs et archéologues du Centre INAH du Yucatan espèrent trouver des solutions pour soulager des constructions qui commencent à "fatiguer", selon les propres termes de l'INAH. José Huchim Herrera, directeur du projet Uxmal, pense trouver des schémas et des solutions pour faciliter la restauration et le sauvetage de certains édifices. Un de ses collègues explique que c'est la masse des structures qui provoquent des risques de changement de niveau, sans qu'il y ait pour autant une menace d'effondrement.
En même temps, le visiteur lambda voit ses circuits de visites assez restreints. Il est presque impossible de pénétrer ou d'escalader certaines pyramides ou plateformes.
Grâce à ce projet, les restaurateurs et archéologues du Centre INAH du Yucatan espèrent trouver des solutions pour soulager des constructions qui commencent à "fatiguer", selon les propres termes de l'INAH. José Huchim Herrera, directeur du projet Uxmal, pense trouver des schémas et des solutions pour faciliter la restauration et le sauvetage de certains édifices. Un de ses collègues explique que c'est la masse des structures qui provoquent des risques de changement de niveau, sans qu'il y ait pour autant une menace d'effondrement.
En même temps, le visiteur lambda voit ses circuits de visites assez restreints. Il est presque impossible de pénétrer ou d'escalader certaines pyramides ou plateformes.
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