Le quotidien en ligne El Universal rapporte une découverte spectaculaire : des arquéologues-plongeurs de l'INAH ont exploré le cénote Las Calaveras (ironie du sort!), dans le sud de l'état du Quintana Roo.
De nombreux squelettes, datés entre 125 et 236 après Jésus Christ, ont été retrouvés. Ils seraient au minimum 20 et au maximum 200 individus qui auraient péri dans cette poche d'eau souterraine, après avoir été les victimes sacrificielles de certains rituels liés très probablement à la fertilité.
Si ce chiffre se confirme, Las Calaveras deviendrait le site possédant la plus grande concentration de corps observé sur un site archéologique. Le quotidien précise que ce record appartient pour l'heure au site maya de Tikal, au Guatemala.
Selon Carmen Rojas Sandoval, en charge du projet, explique que les conditions alcalines de l'eau, l'obscurité du lieu ont permis une conversation excellente des ossements. Ce fabuleux état de conservation va permettre aux anthropologues physiques et aux médecins légistes d'établir des modèles ADN pour voir la possible existence de liens familiaux entre les victimes.
De nombreux squelettes, datés entre 125 et 236 après Jésus Christ, ont été retrouvés. Ils seraient au minimum 20 et au maximum 200 individus qui auraient péri dans cette poche d'eau souterraine, après avoir été les victimes sacrificielles de certains rituels liés très probablement à la fertilité.
Archéolgues fouillant, Las Calaveras, Quintana Roo. Retrouvée le 25 février sur : http://www.eluniversal.com.mx/img/2010/02/Cul/inah2.jpg
Si ce chiffre se confirme, Las Calaveras deviendrait le site possédant la plus grande concentration de corps observé sur un site archéologique. Le quotidien précise que ce record appartient pour l'heure au site maya de Tikal, au Guatemala.
Selon Carmen Rojas Sandoval, en charge du projet, explique que les conditions alcalines de l'eau, l'obscurité du lieu ont permis une conversation excellente des ossements. Ce fabuleux état de conservation va permettre aux anthropologues physiques et aux médecins légistes d'établir des modèles ADN pour voir la possible existence de liens familiaux entre les victimes.
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