Dans un bulletin publié lundi dernier sur le site de l'INAH , on append que les archéologues de l'INAH Zacatecas ont pu travailler sur des grains de maïs et des graines d'haricots, de courgettes et d'amarante, découverts dans un contexte domestique. Âgés de plus de 1100 années, ces vestiges paléobotaniques ont été découverts lors de fouilles effectuées l'année dernière. Cette découverte remet fondamentalement en cause l'hypothèse qu'on se faisait sur la population qui résidait à La Quemada. Auparavant, on considérait que cette ville était un lieu de pèlerinage. Marco Antonio Santos, responsable du projet, estime que ces graines nous donnent une idée plus claire du régime alimentaire des habitants. Il a rappelé que des graines de maïs et de haricots avaient également détecté de manière éparse sur des terrasses agricoles préhispaniques. Une autre découverte remet fondamentalement en question la perception de l'environnement de la Quemada. Il semblerai...
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