À l'invitation des Pr. Peperstraete et Lambert, Guilhem Olivier, enseignant-chercheur à l'Institut de Recherches Historiques de l'Université Nationale Autonome du Mexique, présentera un cycle de quatre conférences au Bâtiment la France, siège de l'EPHE dans le 13e arrondissement de Paris, les 20, 21, 27 et 28 janvier prochain. Il y sera question d'un thème qu'Olivier a patiemment creusé lors des deux dernières décennies et sur lequel il a publié en français dans le Journal de la Société des Américanistes et en espagnol dans la revue Estudios de Cultura Náhuatl.
In cuicapicqui Ninonpehua, nihuelncuica ompa ye huitz Tollanitic, nihuelicuica, otozcuepo, motoma xochitl Huel xiccaqui ye mocuic: cuicaichtequini ¿quen ticcuiz, noyol? Timotolinia yuhquin tlacuilolli huel titlani, huel xontlapalaqui at ahihuetzian timotolinia (León-Portilla, 2012, 148-159) On n'espérait pas entendre cette annonce dans les journaux télévisés mexicains, sur les réseaux sociaux, les pages de centres de recherches. Voilà plusieurs mois que Miguel León-Portilla était hospitalisé pour des soucis bronchopulmonaires et semblait se récupérer lentement, comme l'indiquait son épouse Ascención Hernández en mai dernier au quotidien Milenio . Finalement, le chercheur mexicain probablement le plus récompensé jusqu'à présent n'a pas résisté plus longtemps. Lire son CV sur le site de l'Instituto de Investigaciones Históricas vous permettra de vous faire une idée de son importance pour les sciences mexicaines. Réduir...
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