Mexique Ancien - Ancient Mexico - México Antiguo

Cette semaine  Raíces  recevait María Teresa Uriarte Castañeda, coordinatrice du projet Pintura mural prehispánico de l'Instituto de Investigaciones Estéticas de l'Universidad Nacional Autónoma de México. Uriarte Castañeda a coordiné plusieurs projets éditoriaux et publié de nombreuses participations liées à l'histoire de l'art préhispanique. Il y a tout juste 10 ans étaient publiées les mémoires d'une table ronde organisée par l'UNAM sur la culture olmèque. Quels ont été les principaux apports de cette table ronde ? Quelles nouveautés ont surgi depuis ? Comme chaque semaine, nous vous présentons ce  programme sur le portail Internet Archive  en format  ogg . Crédits musicaux Génériques :     Carlos Rohan Tamez Son jarocho campesino San Andrés Tuxtla: https://youtu.be/uZ_0oiEWWlw El tigre - Música folclórica de Tabasco, México https://youtu.be/BUCAJ7Y-2gk Références  bibliographiques Uriarte, M.T. & González Lauck, R.

“[...] en todas las fiestas de su calendario, que eran dieciocho, todo el fin de celebrarlas con tantas muertes de hombres, y con tantos ayunos y derramamientos de sangre de sus personas, todo se dirigía sobre pedir de comer y años prósperos y conservación de la vida humana, y en todas ellas metían colectas y hacían memoria del agua en una fiesta que llamaban etzalcualiztli, que era cuando las aguas eran ya entradas y las sementaras crecidas y con mazorcas.” (Durán, 1984, 171) Cette semaine Raíces recevait de nouveau Alejandro Veliz, docteur en Études mésoaméricaines et enseignant à l'École des Beaux-Arts de Capulhuac. Après avoir décrit de manière succincte la vingtaine  d' etzalcualiztli il y a quelques semaines, Veliz est venu expliquer le paysage sonore des rituels qui avaient lieu pendant cette semaine. Cette plongée dans le son rituel nous invite à nous demander quels objets sonores étaient utilisés ? À quel moment de la vingtaine étaient-ils utilisés ? Qui pouva

Cette semaine, Raíces recevait Paloma Vargas, docteur en littérature hispanique et enseignante-chercheure de l'École d'Humanités et d'ëducation de l'ITESM, et directrice de la maîtrise en Humanités numériques. Ce programme ferme l'ensemble du processus de publication de sa thèse doctorale sur le Libro de los ritos  de Diego par El Colegio de México. L'ouvrage fut même présenté il y a quelques semaines au Museo de Historia Mexicana de Monterrey en présence d'Eduardo Matos Moctezuma, professeur émérite de l'INAH. Ce dernier entretien nous permet de répondre à plusieurs questions. D'où était originaire Duran ? Quelles étaient ses motivations au moment de rédiger le Libro de los ritos ? Qui a dessiné les vignettes qui furent collées sur le manuscrit envoyé en Espagne ? Comment effectuer la paléographie d'un tel document ? Comme chaque semaine, nous vous présentons ce  programme  sur le portail Internet Archive en format  .ogg . Cré

Dans le cadre du cycle de conférences La arqueología hoy , Leonardo López Luján, membre de El Colegio Nacional , recevait les archéologues japonais Nawa et Saburo Sugiyama, co-directeurs du Proyecto Plaza de las Columnas. Depuis 2015, ce projet archéologique systémique situé en face de la Pyramide du Soleil a multiplié les découvertes surprenantes: fragments de peintures murales de style maya, biens somptuaires à partir de matériaux importés sur de longues distances, offrandes surprenantes. Avant d'entamer une nouvelle campagne de fouilles, ils ont proposé une double conférence à El Colegio Nacional que nous partageons dans ce carnet. Attention: l'enregistrement est disponible directement sur la chaîne Youtube El Colegio Nacional. Aucun doublage ou sous-titrage en français n'est disponible.  Pour en savoir sur le Proyecto Plaza de las columnas , veuillez consulter la page suivante :  http://ppcteotihuacan.org .

Cette semaine, Raíces recevait Gustavo Ramírez Castilla, archéologue inscrit au Centre INAH Tamaulipas pour connaître d'un peu plus près le site de Tammapul, situé au bord de la Biosphère El Cielo. Ramírez Castilla connaît bien cette zone archéologique tamaulipèque puisqu'il a participé aux campagnes de nettoyage, conservation et consolidation en 1997 et 2018. Gustavo Ramirez Castilla, Altamira, Tamaulipas “Hacia 1840, un curioso explorador tamaulipeco — que no sabemos con certeza si se trata de Joaquín Barragán o de Manuel Cárdenas,coautores junto con Toribio de la Torre de Historia General de Tamaulipas — realizó excavaciones en el Gran Cúe de Tammapul. Si bien realizó una acertada descripción del mismo, también destruyó en buena medida mu-ros y la escalinata, como lo muestran las calas realizadas por nuestra parte. Sus indagaciones incluyeron la excavación de unos supuestos túneles que conectaban con la pirámide, que si-guen siendo una leyenda entre los lugareños.

Cuahilama fut l'un des premiers sites fondés par les Xochimilcas durant le Postclassique ancien dans le sud de la Vallée de Mexico. Une des caractéristiques de ce site est la présence de nombreux reliefs sculptés . Ces représentations d'art rupestre reflète un aspect méconnu des cultures qui se sont succédé dans cette partie du Mexique. Coyoacan possédait également également des reliefs rupestres, notamment une image du serpent à plumes. Mais ils furent détruits au cours des années 1990. La zone de Cuahilama, même si elle bénéficie d'un périmètre de protection de 8 ha, n'en est pas moins menacée par la pression urbaine. Relief cynomorphe sculpté, Cerro Cuahilama, Xochimilco, Postclassique tardif.. Photo: M. Tapia/INAH L'Institut National d'Anthropologie et d'Histoire a récemment mis en place un projet multidisciplinaire de conservation de 10 monuments sculptés sur les 16 qui ornent le Mont Cuahilama.   Juan Carlos Campos Varela, archéologue en ch