L'INAH propose depuis le 22 mars une approche inédite de trois monolithes de la culture mexica-tenochca. Il s'agit de "visiter" la pierre du Soleil, 1790 à l'extrémité sud-est de l'actuel zocalo du DF, la pierre de Coyolxauhqui, découverte en 1978, par les équipes dirigées par Eduardo Matos Moctezuma, et le monolithe de Tlaltecuhtli, inventé en 2006 par l'équipe placée sous la responsabilité de Leonardo Lopez Lujan.
Différent(e)s spécialistes se relaient pour analyser chaque monolithe selon un plan d'études identiques. Ainsi pour la Pierre du Soleil, un petit texte présente le contexte d'élaboration puis de découverte du monolithe. L'archéologue Bertino Olmedo Vera le décrit en trois temps avant de rappeler l'histoire de ses déménagements.
En ce qui concerne la pierre de Coyolxauhqui, c'est Fernando Carrizosa qui s'y colle. Il présente le moment de la découverte, le lien entre l'objet et le mythe mexica de la mort de Coyolxauhqui. Il revient ensuite sur le processus de récupération des couleurs et leur symbolisme respectif.
Enfin, pour parler du monolithe de Tlaltecuhtli, l'archéologue Ximena Chavez Balderas explique le contexte de la découverte de ce début de siècle au Mexique, mais également sur les offrandes et rituels associés l'ouvrage. Ensuite la restauratrice Maria Barajas Rocha revient sur les processus de conservation et de restauration de la polychromie de la pièce.
Chaque monument d'une photographie en très haute résolution qui permet d'avancer et de reculer à l'envie pour observer les moindres détails, mieux que si on était face à la pierre. Bonne visite virtuelle !
En ce qui concerne la pierre de Coyolxauhqui, c'est Fernando Carrizosa qui s'y colle. Il présente le moment de la découverte, le lien entre l'objet et le mythe mexica de la mort de Coyolxauhqui. Il revient ensuite sur le processus de récupération des couleurs et leur symbolisme respectif.
Enfin, pour parler du monolithe de Tlaltecuhtli, l'archéologue Ximena Chavez Balderas explique le contexte de la découverte de ce début de siècle au Mexique, mais également sur les offrandes et rituels associés l'ouvrage. Ensuite la restauratrice Maria Barajas Rocha revient sur les processus de conservation et de restauration de la polychromie de la pièce.
Chaque monument d'une photographie en très haute résolution qui permet d'avancer et de reculer à l'envie pour observer les moindres détails, mieux que si on était face à la pierre. Bonne visite virtuelle !
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