La pression permanente des médias, de certaines autorités scientifiques nationales et internationales, voir même des simples touristes en visite aura-t-elle raison du directeur de l'INAH ?
En tout cas, elle aura fait démissionner Laura Pescador Canton, directrice de la Coordination National d'Archéologie de l'INAH. Elle avait donné son autorisation à la réalisation du Projet "Spendeur teotihuacaine". Le quotidien marxiste La Jornada préfère mettre en avant les manifestations répétées des syndicats de travailleurs de l'INAH comme raison à cette démission. Les mêmes syndicats continuent de demander celle de Roberto Garcia Moll, directeur du projet Tula et président du Conseil National d'Archéologie, pour "avoir avalisé et permis le dommage physique" fait aux pyramides.
C'est Salvador Guilliem Arroyo, directeur du projet Tlatelolco, qui prendra sa relève à partir du 1er mai. Ce dernier préfère garder sa position sur le projet mais a annoncé que "ce qui comptait par dessus tout, c'est le patrimoine national".
Le directeur de la vénérable institution, Alfonso de Maria y Campos, fait depuis février l'objet d'une plainte déposée par des travailleurs de l'INAH et l'archéologue Sergio Gomez Chavez, pour dommages au patrimoine national.
Bien évidemment, il n'en est fait aucune mention sur le site officiel de l'INAH qui, depuis le début de cette affaire, n'intervient qu'au compte-goutte sur ce dossier épineux.
En tout cas, elle aura fait démissionner Laura Pescador Canton, directrice de la Coordination National d'Archéologie de l'INAH. Elle avait donné son autorisation à la réalisation du Projet "Spendeur teotihuacaine". Le quotidien marxiste La Jornada préfère mettre en avant les manifestations répétées des syndicats de travailleurs de l'INAH comme raison à cette démission. Les mêmes syndicats continuent de demander celle de Roberto Garcia Moll, directeur du projet Tula et président du Conseil National d'Archéologie, pour "avoir avalisé et permis le dommage physique" fait aux pyramides.
C'est Salvador Guilliem Arroyo, directeur du projet Tlatelolco, qui prendra sa relève à partir du 1er mai. Ce dernier préfère garder sa position sur le projet mais a annoncé que "ce qui comptait par dessus tout, c'est le patrimoine national".
Le directeur de la vénérable institution, Alfonso de Maria y Campos, fait depuis février l'objet d'une plainte déposée par des travailleurs de l'INAH et l'archéologue Sergio Gomez Chavez, pour dommages au patrimoine national.
Bien évidemment, il n'en est fait aucune mention sur le site officiel de l'INAH qui, depuis le début de cette affaire, n'intervient qu'au compte-goutte sur ce dossier épineux.
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