Il y a deux jours, je m'apprêtais à sortir de ma prépa pour rentrer tranquillement à la maison. Le soleil dardait ses rayons puissants, chauds et lumineux (comme d'habitude en fait depuis quelques semaines). Le ciel était clair, quelques duvets nuageux à peine. Et puis ploc! Une goutte vient de s'écraser sur mon front... Re ploc! une autre go utte vient mouiller ma veste en jean... Curieux?! L'arrosage automatique sans doute... Les plocs commencent à se succéder à toute vitesse sur mon visage et mes vêtements. Je n'y comprends rien. "Toute la pluie tombe sur moi" pour reprendre un vieux standard de Sacha Distel. Débute alors une promenade surréaliste : j'ouvre mon parapluie sous une pluie battante et je garde mes lunettes de soleil pour me protéger de la lumière brûlante. A bien regarder, le Cerro de la Silla en face n'est pas recouvert par un chapeau de nuages. En me retournant, je vois bien un nuage mais sa couleur et sa transparence ne laissa...
Carnet d'informations et de réflexions sur l'archéologie mexicaine et centro-américaine