La cité-soeur de Tenochtitlan bénéficie depuis le 15 décembre dernier d'un musée digne de son nom. L'UNAM a procédé à l'inauguration d'un nouveau musée situé dans le Centro Cultural Universitario, collé à la zone archéologique de Tlatelolco.
Au programme de la visite, trois cents objets retrouvés lors des nombreuses campagnes de fouilles effectuées au cours des soixante-cinq dernières années. Ils narrent l'histoire de la ville jumelle de Tenochtitlan de sa fondation (officiellement au début du XIVe siècle de notre ère) à sa conquête par l'envahisseur espagnol. Figurent des pipes, des braseros, des masques teotihuacains, des fragments de peintures murales et de textiles...
Une deuxième partie du musée propose des répliques des chroniques coloniales qui présente les réactions des Espagnols lors de la découverte de ces deux cités. Il s'agit aussi de présenter une visite interactive où le visiteur pourra redécouvrir l'environnement de l'époque au moyen de vidéos et d'éléments virtuels. On pourra voir en quoi Tenochtitlan et Tlatelolco différaient, notamment en ce qui concerne l'accès des macehualtin aux espaces sacrés.
L'archéologue Salvador Guilliem, directeur du projet Tlatelolco, a été nommé commissaire général des collections de ce musée. L'histoire de l'art Maria Teresa Uriarte s'est vue confier le poste de conservatrice des collections préhispaniques. Sa collègue Mercedes de la Garza a été nommée conservatrice de la collection Stavenhagen.
Elle est le fruit d'un collectionneur privé pendant plusieurs décennies. Regroupant plus de deux mille deux cent cinquante-cinq objets donnés à l'UNAM, elle a été transférée au Museo de la CCU Tlatelolco pour garantir sa convservation. L'exposition publique en comptera "seulement cinq cents" appartenant à de différentes cultures préhispaniques et sont présentés selon les axes thématiques suivants :
Pour en savoir plus sur ce musée, vous pouvez consulter la note de l'INAH et un article publié sur le site du quotidien El Economista en cliquant ici et là. Soyez attentifs à cette dernière car la rédaction est assez médiocre et il convient de la prendre avec des pincettes. Vous pouvez également télécharger une bibliographie plus complète en format pdf sur le site de l'INAH.
Le musée est ouvert au public tous les jours de 8 heures à 18 heures. Un service de visite guidée est également proposé.
Au programme de la visite, trois cents objets retrouvés lors des nombreuses campagnes de fouilles effectuées au cours des soixante-cinq dernières années. Ils narrent l'histoire de la ville jumelle de Tenochtitlan de sa fondation (officiellement au début du XIVe siècle de notre ère) à sa conquête par l'envahisseur espagnol. Figurent des pipes, des braseros, des masques teotihuacains, des fragments de peintures murales et de textiles...
Une deuxième partie du musée propose des répliques des chroniques coloniales qui présente les réactions des Espagnols lors de la découverte de ces deux cités. Il s'agit aussi de présenter une visite interactive où le visiteur pourra redécouvrir l'environnement de l'époque au moyen de vidéos et d'éléments virtuels. On pourra voir en quoi Tenochtitlan et Tlatelolco différaient, notamment en ce qui concerne l'accès des macehualtin aux espaces sacrés.
L'archéologue Salvador Guilliem, directeur du projet Tlatelolco, a été nommé commissaire général des collections de ce musée. L'histoire de l'art Maria Teresa Uriarte s'est vue confier le poste de conservatrice des collections préhispaniques. Sa collègue Mercedes de la Garza a été nommée conservatrice de la collection Stavenhagen.
Elle est le fruit d'un collectionneur privé pendant plusieurs décennies. Regroupant plus de deux mille deux cent cinquante-cinq objets donnés à l'UNAM, elle a été transférée au Museo de la CCU Tlatelolco pour garantir sa convservation. L'exposition publique en comptera "seulement cinq cents" appartenant à de différentes cultures préhispaniques et sont présentés selon les axes thématiques suivants :
- l'homme dans sa vie quotidienne,
- l'indumentaire et les ornements corporels,
- l'expression et le langage corporels,
- les liens avec les animaux,
- vie et mort,
- le sacré.
Pour en savoir plus sur ce musée, vous pouvez consulter la note de l'INAH et un article publié sur le site du quotidien El Economista en cliquant ici et là. Soyez attentifs à cette dernière car la rédaction est assez médiocre et il convient de la prendre avec des pincettes. Vous pouvez également télécharger une bibliographie plus complète en format pdf sur le site de l'INAH.
Le musée est ouvert au public tous les jours de 8 heures à 18 heures. Un service de visite guidée est également proposé.
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