Et voici pour vous une bonne nouvelle pour bien commencer ce nouvel an!
El Milenio du 24 décembre dernier annonce que, probablement à partir du mois d’août prochain, une importante frise stuquée découverte dans le site archéologique de Calakmul sera exposée au grand public.
Le directeur du projet archéologique, Ramón Carrasco, explique que cette frise, découverte il y a maintenant 9 ans mais qui n’a jamais été visible en raison de l’absence des conditions appropriées pour son exposition, mesure 20 mètres de longueur pour 3 de largeur.
Elle contient des informations très importantes sur l’histoire de la civilisation maya, notamment en ce qui concerne sa naissance en tant que « culture ». Les archéologues faisaient remonter ce moment à la période comprise entre 200 et 100 ap. J-.C, mais cette frise semble témoigner que, déjà à partir du 400 ap. J.-C cette civilisation était très bien établie sur le territoire.
Selon Carrasco, cette découverte ne peut que confirmer la continuité du pouvoir royal de Calakmul, connue pour sa puissance et pour la qualité de sa production artistique surtout à partir de l’époque classique.
Grâce au blog Maya News Updates, on a pu lire aussi l’article que la Jornada avait publié le 11 décembre 2002, entièrement consacré à cet événement.
On découvre donc que la frise découverte est la partie supérieure d’un édifice, apparemment enterré rituellement, qui remonte au 400 ap. J.-C d’après le Carbone 14. Carrasco suppose en outre qu’il représente le passage de la culture olmèque à la culture maya, puisqu’il présente des caractéristiques communes aux deux différentes civilisations.
El Milenio du 24 décembre dernier annonce que, probablement à partir du mois d’août prochain, une importante frise stuquée découverte dans le site archéologique de Calakmul sera exposée au grand public.
Le directeur du projet archéologique, Ramón Carrasco, explique que cette frise, découverte il y a maintenant 9 ans mais qui n’a jamais été visible en raison de l’absence des conditions appropriées pour son exposition, mesure 20 mètres de longueur pour 3 de largeur.
Elle contient des informations très importantes sur l’histoire de la civilisation maya, notamment en ce qui concerne sa naissance en tant que « culture ». Les archéologues faisaient remonter ce moment à la période comprise entre 200 et 100 ap. J-.C, mais cette frise semble témoigner que, déjà à partir du 400 ap. J.-C cette civilisation était très bien établie sur le territoire.
Selon Carrasco, cette découverte ne peut que confirmer la continuité du pouvoir royal de Calakmul, connue pour sa puissance et pour la qualité de sa production artistique surtout à partir de l’époque classique.
Grâce au blog Maya News Updates, on a pu lire aussi l’article que la Jornada avait publié le 11 décembre 2002, entièrement consacré à cet événement.
On découvre donc que la frise découverte est la partie supérieure d’un édifice, apparemment enterré rituellement, qui remonte au 400 ap. J.-C d’après le Carbone 14. Carrasco suppose en outre qu’il représente le passage de la culture olmèque à la culture maya, puisqu’il présente des caractéristiques communes aux deux différentes civilisations.
La frise est caractérisée par les couleurs noir et rouge et elle représente la première ouverture zoomorphe qui conduisait à l’Inframonde. En son centre est représenté l’esprit ou l’âme « qui tombe ou entre dans la montagne, c’est-à-dire l’Inframonde » - explique Carrasco. Deux oiseaux sont représentés sur les deux côtés, tandis que la partie supérieure est caractérisée par la présence de la bouche du monstre de la terre.
On regrette l’absence d’une photo et d’une explication iconographique plus précise ; espérons que cela sera disponible prochainement.
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